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tomber des nuesNathalie Georges-Lambrichs

Tomber des nues

Postface de Ginette Michaux
Tempéras de Claude-Luca Georges

« Au-dessus de la page, un poème. En bas, un autre. Entre les deux, entre ciel et terre, le vide de la page, inaltérable : souffle du vide, énergie, par la grâce desquels lettres et images des haïkus scintillent souplement entre elles, s’enlacent, sans se ressembler. Et aussi, au fil des pages, rature, ratage de l’insaisissable, qui rebondissent en « libres reprises » inachevées, pour toucher par un autre bord l’obscur sans nom que le mot passionnément désire serrer. »
Extrait de la postface de Ginette Michaux.